mercredi 31 octobre 2012

Créer un linteau

Maintenant que j’ai créé l’ouverture dans la salle de bain, je vais me faire un petit linteau… Bon il n'y a rien qui doit être soutenu au dessus, comme par exemple un mur porteur, mais si je me lance dans cette affaire, c’est bien pour quelque chose…

En fait mon idée c’est de créer un support pour soutenir les 2 poutres qui supportent le toit au dessus, et qui pour le moment tiennent par une force obscure... Suite à une démolition certainement un peu rapide de ma part !

Linteau pour soutenir les 2 poutres


Le linteau reposera d’un côté sur un mur de parpaing, de l’autre sur un mur de brique, mais fixé à un autre linteau, en attachant les fers des deux linteaux entre eux avec du fil à ligaturer.

Jointure entre fers


Voilà comment je m’y suis pris, je ne sais pas si c’est suffisant ou pas, mais je n’ai pas trouvé d’infos à ce sujet, je me suis donc basé sur ce que je pense savoir.

Donc après avoir mis mon fer 15x15 diamètre 6, j’ai rajouté 2 fers de 12. Mieux vaut trop que pas assez, ce n’est pas pour le prix que ça coûte…

J’ai ensuite coffré tout ça. Pour ceux qui ont vu mon premier coffrage, celui-ci est mieux. Je me suis procuré des serre-joints de maçon, ça aide !



Et dernière étape, on coule le béton. Là c’est facile, j’ai tout mis par le haut.



J’ai laissé sécher ça 2 jour, et j’ai enlevé le coffrage.

Résultat final avec de soutiens encore présents...

...mais je vous rassure, je les ai enlevés

Alors, c’est pas mieux ?


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lundi 29 octobre 2012

Video-Test perceuse visseuse Bosch PSR14.4 LI-2

Je vais tester un petit truc. Je me suis dit que ça serait sympa de faire des tests d’outils que j’ai pu acheter.

Et comme j’aime bien la vidéo, et bien je me suis dit (ah bon ?) que ça serait sympa de le faire en vidéo. Cool non ?

Donc aujourd’hui je vous propose le test vidéo de la perceuse visseuse Bosch sans fil PSR14.4 LI-2.

Perceuse visseuse Bosch sans fil PSR14.4 LI-2






Voici un petit récapitulatif des points forts et des points faibles :

Les + :
  • Le sans fil
  • Les 2 batteries
  • La recharge rapide
  • La puissance en vissage
  • La robustesse générale
  • La LED d’éclairage
  • La batterie commune avec d’autres produits de la gamme

Les - :
  • La faiblesse en perçage
  • Le coût


Donc comme vous le voyez, il y a tout de même plus de points positifs que de points négatifs.

Pour ma part, je trouve cet outil très bien, je suis entièrement satisfait de mon achat et vous le conseille fortement. Sachez qu’à part des produits d’appel (genre 50 € maxi), je n’ai jamais testé d’autre visseuse dans cette gamme.

Et pour ceux qui seraient rebutés par le coût (environ 180€), sachez que c’est un investissement rentable, surtout si vos travaux sont aussi importants que les miens. On gagne un temps fou avec ce type de produits…

samedi 27 octobre 2012

Isoler un toit

Sur une partie du second étage, j’ai un grenier, dont le toit est déjà isolé, contrairement à une autre zone de cette partie de maison.

Anciennement il ya avait une terrasse au second étage qui a été fermée pour agrandir la maison. Cette partie a un toit différent. Lorsque j’ai acheté, l’isolation dans cette partie était 50 mm. Cette épaisseur est vraiment ridicule. Ca serait faux de dire que cela ne sert à rien, mais quitte à isoler, ils auraient pu mettre plus épais.

J’ai donc décidé d’enlever l’existant pour mettre une isolation plus performante. Voici un plan de mise en situation :

Plan de mise en situation : isolation du toit et/ou combles aménageables


Une fois le lambris et la petite couche de laine de verre enlevée, je me retrouve avec des solives, d’épaisseur 80 mm. Hors, pour bien isoler j’ai choisi de prendre du 200 mm. J’aurais bien pris plus gros, comme du 300 mm généralement conseillé, mais le plafond étant déjà relativement bas, je ne pouvais pas perdre 10 cm de plus… Sauf que 200 mm ça ne rentre pas dans 80…

Je me suis donc procuré des suspentes que j’ai fixées aux solives pour pouvoir descendre les fixations de rail à la hauteur souhaitée.

Suspentes fixées au toit

Sur les suspentes j’ai fixé des rails F-Still 530 sur lesquelles je fixerais les plaques de placo. Les rails sont tout simplement clipsés. C'est vraiment facile d'installation est très solide.

Rails F-Still 530 fixés aux suspentes

Pour finir, il suffit de découper la laine de verre et de la caler entre le toit et les rails et le tour est joué !
Ajout de la laine de verre

Laine de verre mise en place

Le conseil du jour : lorsque vous travaillez la laine de verre, protégez-vous !!! Bon on retrouve cette avertissement partout sur les ballots de laine de verre, mais souvent on se dit que ce sont des conseils pour pousser à l’achat de lunettes, ou autres accessoires, ou que ce sont des conseils inutiles. Mais pour une fois le conseil est bon. Le minimum c’est les gants et des vêtements qui recouvrent toutes les zones qui peuvent potentiellement entrer en contact avec cette matière abrasive (mains, bras, etc.). Si vous enlevez de la laine de verre ancienne, je vous conseille très très fortement le masque, parce qu’entre les particules de laine de verre et la poussière, ça racle sauvagement la gorge !


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jeudi 25 octobre 2012

Les outils

Avant de commencer ces travaux, mon atelier perso était composé de 3 tournevis (à peine exagéré).

J’ai donc investi pas mal dans de l’outillage, d’une part parce que l’on ne s’engage pas dans une telle rénovation sans outil, on ne pourrait rien faire, et d’autre part pour m’équiper. Quand j’ai besoin d’un truc, je n’aime pas devoir courir à droite ou à gauche, je préfère tout avoir sous la main.

Quelques outils


Aujourd’hui, dans les 11000€ dépensés pour les travaux, 1000 sont parti dans cet équipement.

Alors c’est très varié, cela va du marteau au tournevis, de la meuleuse à la visseuse, jusqu’au lève-plaque.

Mètre, cutter, et couteau laine de verre


J’ai tout de même récupéré quelques trucs ici et là, des outils particuliers ou très couteux.

J’ai posté ce billet aussi pour dire que l’outillage de qualité c’est super important. Après chacun fait comme il veut, mais je préfère acheter un tournevis à 10€, que 3 à 5€, à force de les casser… On est tous comme ça, à se dire « ah mais celui-là est moins cher, et en ce moment je n’ai pas d’argent » et puis 3 semaines après, on regrette cet achat censé nous avoir fait faire des économies.
Je ne sais pas si l’exemple du tournevis est pertinent, mais j’ai eu cette expérience négative avec les forets de perceuse. J’ai fini par en acheter des costauds, donc forcément chers, mais si j’avais su, j’aurais effectué cet investissement au départ, cela m’aurais permis d’économiser quelques euros…

Autre exemple, il y a quelques mois, j’avais acheté une perceuse pas chère, je croyais avoir fait une affaire, un modèle de marque en plus. Au final je ne l’utilise j’aimais, fragile, aucune puissance… J’ai investit dans une perceuse/visseuse sans fil Bosch, dont le coût est élevé, mais je ne regrette absolument pas cet achat…

Outre l’aspect robustesse, il faut aussi voir l’aspect qualitatif. Avec un bon outil, on peut réaliser une opération en 1 minute, quand un outil au rabais nous en fera prendre 2 voir plus… Le calcul peut être vite fait quand on sait par exemple qu’il faudra bosser 8 heure d’affilé avec un bon perfo, et qu’un mauvais perfo vous fera perdre le week-end complet…

mardi 23 octobre 2012

L’accès à la salle de bain

J’ai décidé de faire ma salle de bain à l’étage, dans une petite pièce qui servait avant de chambre d’enfant. Je trouve que dans les proportions, cette pièce est parfaite, et de toute façon, si je n’avais pas décidé d’y mettre la salle de bain, je ne sais pas trop ce que j’aurais pu en faire…

Ici, la future salle de bain


Mais le souci, c’est que pour accéder à cette partie de la maison, il faut obligatoirement passer par la chambre principale. Pas cool !

J’ai donc décidé de créer un nouvel accès. Cela ferait 2 portes pour accéder à la salle de bain, donnant chacune dans une des 2 chambres…

Salle de bain : projet de création d'ouverture
Projet de création d'ouverture

Pour cela, il fallait donc casser un mur de parpaings. Pour avoir déjà testé la chose avec l’ancien comptoir de la cuisine, je savais que ça ne serait pas simple, et ce fût le cas.

Salle de bain : Début de la démolition pour la création d'ouverture
Début de la démolition pour la création d'ouverture

Donc si un jour vous devez vous aussi casser du parpaing, équiper-vous d’une bonne grosse masse avec un manche long, outil idéal pour ce type de travail !


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dimanche 21 octobre 2012

La double cloison, ou le mur qui en cache un autre

En lieu et place de la future cuisine se trouve un renfoncement et une partie « fenêtre » composée de briques de verre.



Pour le renfoncement, soit disant une ancienne ouverture de fenêtre, j’avais 2 options : boucher ou le garder pour en faire une niche. La seconde solution avait ma priorité, mais je n’arrivais pas à l’intégrer dans mon projet, j’ai donc choisi de le condamner

Pour les briques de verre, même soucis. Les intégrer dans le projet de la cuisine, ou les condamner, cachées par la future isolation. C’est cette dernière option qui a remportée la mise.

Et puis un jour, en faisant le « ménage » (boiseries ou autres fioritures trainant sur le mur), je me suis aperçu qu’un mur de brique cachait un vide d’environ 20 cm jusqu’au mur porteur extérieur… Il y a quelques décennies, c’est de cette façon que l’isolation des maisons étaient effectuées. C’est un peu le principe du double vitrage d’aujourd’hui (pour faire simple)…



Comme j’avais prévu d’isoler cette partie de la maison, j’ai décidé de tout casser pour gagner quelques centimètres de profondeur.



A cette occasion j’ai donc découvert que le renforcement n’était pas une ancienne fenêtre, mais plutôt une ancienne porte fenêtre, certainement l’ancienne entrée de la maison. Dehors, rien ne laissait imaginer cela, la façade ayant été refaite, et de plus elle est recouverte de lierre…



Je me suis retrouvé avec les anciennes pierres qui composaient le mur extérieur de la maison et qui faisaient l’angle de la maison. Il a donc fallu acheter une meuleuse pour « nettoyer » tout ça…


Pour finaliser, un petit coup de mortier sur tout ça, et il n’y a plus qu’à attendre l’isolation…



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vendredi 19 octobre 2012

La maçonnerie

Suite à la destruction du mur, il a fallu se mettre à la maçonnerie pour reconstruire le pilier jouxtant la porte d’entrée, pilier que je n’aurais pas du détruire finalement (erreur de débutant).

Je tiens à avertir les maçons de ne pas lire ce message sans quoi vous risquez une attaque cardiaque foudroyante ! En effet, pour une première, j’ai vraiment fait ça à l’arrache, mais ça a au moins eu le mérite de me former un peu…



Le souci, c’est d’avoir voulu faire à l’économie. J’ai fait le coffrage avec ce que j’ai trouvé, et il faut bien dire que c’était loin d’être suffisant. Planches pas à la bonne taille, bois trop souple, pas de serre-joints, etc.



Bon j’ai quand même fait quelques trucs bien, j’ai pensé à l’armature du béton, faite de tiges (appelés Fers) en métal rouillé (achetées en grande surface de bricolage).


Et comme mes planches n’étaient pas grandes, il a fallu couler le pilier en plusieurs fois…


Notez bien que je n’ai pas forcé sur la finition, comme je vais l’habiller de placo, j’ai fait le strict minimum… Ne vous inquiétez pas, dans un prochain billet vous verrez que je m’y suis bien mieux pris la fois d’après !


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mercredi 17 octobre 2012

L'escalier

Comme pour la cuisine, je voulais mon escalier ouvert sur le salon… Et puis l’ancien escalier n’était pas vraiment joli, et pas forcément en adéquation avec mon envie de rendre cette maison plus contemporaine.

Ancien escalier en bois


Mon choix s’est porté vers un escalier Leroy Merlin, qui correspond bien à ce que je cherchais, sans pour autant me ruiner.

Mon nouvel escalier Leroy Merlin

Cet escalier m’a coûté 1200€ chez Leroy Merlin. Ce prix ne comprend pas la rambarde.

La petit côté drôle de cette histoire, c’est que l’ancien escalier était un poil plus petit, du genre 10-15 cm de moins. Sauf que je n’ai pas cet espace pour le nouveau… Donc pour faire rentrer mon escalier, 3 options se présentaient à moi :

- Couper les marches qui se trouvent en bas, dans l’angle droit. Possible, mais je n’étais pas spécialement fan car l’escalier perdait un peu de son « look », et puis de son côté pratique avec la taille des marches en dessous des standards.

- Agrandir le chevêtre, à savoir le trou de l’escalier dans le plafond. Solution qui aurait certainement été la meilleure, mais lorsque j’ai sondé le sol, je ne voyais pas bien comment faire (il n’y avait pas grand-chose de droit). Et je manquais de connaissance en charpenterie/menuiserie.

- Réduire l’épaisseur du mur d’en face, qui fait bien son 50 cm d’épaisseur…

J’ai préféré la dernière solution, techniquement la moins compliquée (des 2 dernières solutions), pas la moins esthétique, mais certainement pas la moins chiante…

Plan de mise en situation de la saignée du mur porteur


Parce qu’un mur ancien, c’est plein de cailloux, mais vraiment beaucoup de cailloux… On ne s’en rend compte qu’une fois avoir passé quelques heures à réduire la taille du mur et lorsque l’on jette un coup d’œil au tas :

Tas de pierres : tout n'est pas là...
 
Et puis il faut faire attention, car des fois tu enlèves une pierre, mais c’est 4-5 qui tombent car les joints s’effritent !

Une fois le vide fait, il faut tout reconsolider la partie du mur restante. Je ne sais pas s’il y a une technique particulière à ça, personnellement je me suis contenté d’appliquer une couche de mortier.

Évolution de la saignée
 
Bref, avec le recul je me dis que c’était vraiment une folie de faire ça, mais maintenant c’est fait, et tant mieux !


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lundi 15 octobre 2012

Se débarrasser des gravats

Tous ceux qui ont fait des travaux lourds ce sont heurtés à la question des gravats. Qu’en fait-on ? Comment s’en débarrasse-t-on ?

Tas de gravats

Déjà, première chose à savoir, gérer les gravats prend bien plus de temps que de les créer. C’est-à-dire que tomber une cloison prend 5 min (sisi, c’est tellement du bonheur que l’on va super vite !), bon peut-être et surement un peu plus de temps (tout dépend de la cloison). Mais après il amasser, ramasser, transporter ! C’est 3 étapes prennent plus de temps, 2 fois, 3 fois, voir plus que l’étape démolition. Donc si vous devez établir un planning, pensez-y !

Alors moi j’ai opté pour les sacs à gravats. Il y a plein de modèles. Du 1er prix fragile ou sac bien cher mais bien costaud ! Moi j’ai opté pour le premier prix en sac tressé, mais j’en ai pris pas mal. Tout simplement parce que j’avais quand même pas mal de gravats, et que ce n’est pas avec 2 sacs seulement que je rempli la remorque ! Les prix commencent à environ 1€ le sac...

Sacs à gravats

J’ai aussi testé les sacs en plastique noir, façon sac poubelle. C’est vraiment fragile, pour une utilisation ça va, mais ils se trouent vite… Personnellement je vous les déconseille. J'ai aussi testé des sacs à anses, plus chers, plus costauds. Ni à conseiller ni à déconseiller, l'utilisation est différente par rapport aux sacs d'entrée de gamme.

Une remorque ? Pourquoi des sacs alors ? Pour 2 raisons toutes simples : du second étage à la remorque, faut bien transporter les gravats… Et quand t’arrive à la déchèterie avec ta remorque pleine, t’es bon à reprendre la pelle pour la vider ! Alors qu’avec les sacs c’est simple, rapide, efficace !

Pour descendre les gravats de la maison, vous pouvez opter pour les gros tubes, à savoir des goulottes à gravats. Cela s’achète, ou bien cela se loue (chez Kiloutou par exemple). J’y ai beaucoup pensé, mais au final c’était hors budget, le coût est assez élevé tout de même. Au moins, l’huile de coude, c’est pas cher… (et les potes ne vous coûtent que quelques bières ;) )


Ensuite, si vous n’avez pas de remorques, trouvez-en une ou achetez-en unes, pour un mec qui rénove sa maison, c’est quand même l’outil indispensable. Entre l’évacuation des gravats et déchets, et les fournitures / matériaux à ramener, c’est vraiment vraiment utile… Sauf si vous avez une camionnette à disposition, c’est aussi plutôt pas mal !

Et puis une fois dans le coffre de la voiture ou dans la remorque, direction déchèterie ! Je vous conseille de trier vos déchets quand vous les chargez, ou au fur et à mesure de la destruction. Cela vous évitera de passer 3 heures à la déchèterie pour trier tout ça !

samedi 13 octobre 2012

Évolution #02 : le 2ème étage

Aujourd'hui, voici les évolutions concernant le 2ème étage, hormis la salle de bain. Vous trouverez les photos de la maison lors son acquisition, puis les photos après casse pour amélioration.

 
Chambre 1 qui servait de couloir pour aller dans la chambre 2 et la 2 bis

 
Chambre 1 depuis le palier

 
Chambre 2

 Sur cette dernière image, vous trouverez au fond de l'image deux portes. Celle de gauche sera détuite pour agrandir la première chambre, tandis que celle de droite ménera à la salle de bain.

jeudi 11 octobre 2012

Évolution #01 : le 1er étage

Aujourd'hui je vous présente une petite nouveauté, à savoir les gif animés ! Tout cela pour voir les évolutions en "direct".





Les différents agencements ne me permettront pas d'avoir une photo au même endroit à chaque fois, mais je ferais de mon mieux pour garder une unité sur la totalité des travaux.

mardi 9 octobre 2012

Le pilier

En plein milieu de la partie salon, dans l’ancienne version, se trouve un magnifique pilier. Ce dernier est caché derrière du lambris (l’ancien proprio a dû avoir la promo de l’année sur ce type de matériaux, il y en a vraiment partout…).


Le pilier habillé de son lambris


Évidement, un pilier dans cette pièce n’est pas le bienvenu. Ben oui, pensez à mon salon « Wii compatible » (lien vers autre billet : L’achat de la maison) ! Donc première chose à faire, enlever l’habillage. Bon si ce pilier était là, je ne me faisais guère d’illusion sur son utilité et donc l’impossibilité qui en découle de m’en débarrasser…

Mais en enlevant le lambris, j’ai au moins eu l’agréable surprise de trouver un pilier beaucoup moins encombrant que ce qu’il n’était auparavant.

Pilier beaucoup moins gros sans son habillage de lambris


Ceci étant fait, je peux reprendre mes plans en prenant en considération le fait que doit se trouver un pilier en béton supportant l’étage supérieur en plein milieu de la pièce principale de la maison… Reste à trouver la meilleure solution pour qu’il gêne un minimum, tout en restant esthétique…

dimanche 7 octobre 2012

Destruction jouissive

Oui bon le titre du billet est un peu racoleur, mais quand même, avec une masse dans la main, on prend vraiment du plaisir !

Le début des travaux commence. J’ai donc décidé de ne garder que le toit et les 4 murs porteurs bordant la maison. J’ai bien un mur à l’étage que je casserais bien, mais je ne suis pas sûr de pouvoir le faire, ni même certains d’avoir les compétences. Donc pour l’instant je vais le laisser en l’état, je verrais plus tard.

Je commence donc au premier, il faut tomber la salle de bain, le comptoir de la cuisine, et ce qui se trouve sous l’escalier. Sans oublier tout le lambris présent…un peu partout !



Bon ce n’est pas l’étape la plus chiante, et ce qui est cool, c’est que visuellement ça parle tout de suite. Les changements ne se font pas attendre. Je vous conseille de bien en profiter, car plus tard, lorsqu’il s’agira de passer à la finition et que pendant 3 jours vous aller bosser comme un forcené, sans voir la moindre évolution, vous trouverez le temps vraiment long



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